
Carpe koi Sanke
Apparues il y a près de 100 ans, les Carpes Koï Sanke doivent leur nom à l’ère Taisho durant laquelle régnait l’empereur Yoshihito.
Apparues il y a près de 100 ans, les Carpes Koï Sanke doivent leur nom à l’ère Taisho durant laquelle régnait l’empereur Yoshihito.
Le nom d’origine des carpes koi Sanke est « Taisho Sanshoku ». « Taisho » signifie « grande vertu, droiture » tandis que « Sanshoku » veut dire « trois couleurs ». Sanke est donc le nom abrégé qui s’est dégagé au fil des années. Le koï Sanke est à l’origine un Asagi Magoï qui a développé un Sumi (noir) légèrement bleuté au-dessus de la ligne latérale.
La Carpe Koï Sanke a la peau blanche et est recouverte de Hi (rouge) et de quelques tâches de Sumi (noir). On estime qu’un koï Sanke de qualité devrait avoir environ 70% de Hi, 20% de Shiroji (blanc) et 10% de Sumi.
On peut considérer que la carpe koï Sanke est une Kohaku avec du noir. Pour voir si la Sanke koï est de bonne qualité, on regarde si elle ferai une belle Kohaku.
Chez un koï Sanke de qualité, les marques Sumi doivent être profondes et bien réparties, et principalement situées dans le Shiroji. Si vous prenez un jeune poisson, pensez à vérifier que ses dessins soient équilibrés, et qu’il ait une peau de bonne qualité. En effet, il est important que le Shiroji soit très pur à l’âge adulte.
Au mieux, essayez de prendre un individu avec le Hi bien réparti et très peu de Sumi, car il a tendance à apparaître avec l’âge. Les tâches de Sumi doivent être bien espacées, leur meilleure localisation reste sur leurs épaules (évitez si possible les tâches sur la tête et sur l’arrière du poisson).
Au-delà du Sanke classique, il existe six variétés aux caractéristiques diverses.